Aviendha Damodred

Votre Personnage

Nom et prénom : Aviendha Damodred
Date de naissance : Le solstice d’hiver – soit en hiver pour nous dans le coin du 21 ou 22 décembre -.
Âge : 21 ans.
Sexe : Femme.
Race : Garou.
Rang et niveau : Garou mordu à l’âge de 10 ans.
Faction : Bonne.

Pouvoirs :

•Caractéristiques propres au faucon : rapidité des mouvements, voyage souvent, besoin de liberté, grande agilité.
•Se métamorphoser en animal, complètement ou partiellement : tout dépend des caprices d’Aviendha.
•Capacité de transformer un humain en garou.
•Absorber les pouvoirs de l’individu qu’il a mordu, mais seulement ce phénomène se produit au hasard et donc, les Garous ne récoltent pas toujours de pouvoirs extraordinaires. .
•D’abord si ce n’était pas de son accident, Aviendha aurait la vue plus perçante qu’un véritable faucon, mais elle a su exploiter son ouïe, son odorat, et sa force de faucon.
•Espérance de vie très longue.

Armes : Mis à part un petit couteau à la ceinture, Aviendha ne porte rien qui puisse être considéré comme une arme. Seulement, elle possède des mesures de protection contre les éventuelles agressions sur sa personne. Depuis naguère, un audacieux faucon lui procure la vue dont elle a besoin, la soutient en cas de nécessité et la protège du mieux qu’il peut.

Description physique :

Séduisante ? Sensuelle ? Charmante ? Sublime ou éblouissante ? Aviendha est la féminité incarnée, la beauté exprimée par les traits d’un visage délicat et raffiné. Autant préciser immédiatement qu’elle n’égalise pas l’envoûtante splendeur de la princesse des Démons, mais du moins, chez les hommes, elle est jugée plus que belle. Effectivement, malgré la cécité de ses prunelles verdoyantes et pâles, Aviendha reçoit bon nombres de propositions alléchantes, mais sa condition ne lui permet pas un mariage décent. Une condition, mais quelle condition ? Aviendha est si magnifique avec son petit corps aux succulentes fesses rebondies et fermes, aux hanches prononcées et sensuelles, à l’axe généreux de sa poitrine ronde et lourde, dirait-on deux fruits mûrs patientant qu’on vienne les cueillir tendrement. Sa peau est tendre et savoureuse, fraîche et parfumée d’un étrange arôme léger et printanier. Son odeur crée l’illusion d’une brise du printemps, pure et sucrée de relents de fleurs. Sa chevelure brune est une cascade d’ondulations souples et soyeuses. Son visage pointu illustre la vertu, la timidité, l’innocence. Dirait-on qu’elle détient un visage d’ange, car ses traits sont harmonieux, lisses et polis. Sa bouche est de corail, ses dents sont de l’ivoire finement ouvragé. Seulement, ses yeux, dénués de vie, dépourvus d’étincelle, demeurent fixes et sans beauté.

Mais Aviendha Damodred est une femme différente des autres. Elle est une garou, prenant la forme d’un faucon lorsqu’elle le désire. Dès lors, son enveloppe charnelle se couvre de plumes brunes et lustrées, ses mains et ses pieds se déforment jusqu’à adopter l’aspect de serres tranchantes. Un bec acéré remplace sa bouche langoureuse. Néanmoins ses yeux ne brillent toujours pas de vie.

Cependant, vous pouvez avoir un aperçu de son apparence animale ici-même :

Spoiler:

Description psychologique :

Aviendha ne parle pas beaucoup. Point qu’elle soit taciturne ou d’une nature timide, bien que ce dernier fait soit véridique, cependant elle préfère évaluer les alentours en écoutant ce qui se déroule. Par contre, elle répondrait volontiers à une question posée à son adresse ou entamerait une conversation avec les gens intéressés à sa personne. Elle n’est ni froide ni austère. Seulement timide et complexée de son handicape qui lui empêche de contempler d’un œil ébahi les étendues autour d’elle. Après tout, ce n’est pas pour rien qu’on l’a dit aimable, douce et chaleureuse. Les insultes à l’égard des autres, elle les préserve pour elle; ses frustrations, elle les comprime en elle; les grimaces de mépris pour les humains agaçants, elle les dépose dans la profonde cave de son esprit. Hypocrite ? Oui. Sans aucun doute. Mais sa gêne ne lui permet pas d’exposer au savoir d’autrui toutes ses pensées, ses réflexions, ses idées, ses opinions.

D’ailleurs, c’est une personne taquine et amusée, elle se plait à se moquer gentiment des gens. Ceux-ci ne tolèrent guère ses railleries, mais Aviendha ne s’en préoccupe plus tellement. Elle a un bon humour, un rire délicat et léger, un sourire bienfaisant et merveilleux. Espiègle à ses heures, tordues à d’autres, elle a toujours aimé tendre des pièges amusants tout autour d’elle.

Pourvue d’une imagination débordante, Aviendha idéalise toujours tout, se visualise des scénarios extravagants dans son esprit et ne vit, parfois, que dans le monde de ses rêveries. Cela lui plait, cela l’autorise à interrompre sa vie l’espace d’un instant et de vivre pleinement celle qu’elle souhaiterait goûter, qu’elle aspirerait à savourer.

Aviendha peut se montrer douce et polie, calme et posée, réfléchie et songée tout dépendamment de ce qu’exige la situation. Elle peut se montrer grossière, fourbe, rusée, rustre, scélérate. Très bonne comédienne, elle joue tous les rôles accessibles. Selon les demandes, elle est la femme séduisante et coquette, qui stimule l’assemblée. La seconde d’après, une folle dominatrice sadique et excitante. Le soir, une jeune femme timide et réservée qui aguiche malgré elle les pauvres clients.

Histoire :

Aviendha Damodred est fille de paysans, l’une des cadettes de la famille. Devant elle, il y avait deux frères costauds, une sœur frêle et sensible puis deux jumelles plus jeunes qu’elle. Leur vie était paisible, parfois menacée par la famine dû aux récoltes peu abondantes, des fois à la maladie qui faisait rage tout autour d’eux, souvent à la pauvreté, car les impôts montaient en flèche lorsque l’empire était en guerre. Sinon, tout allait pour le mieux. Ils étaient tous unis par l’amour et l’amitié jusqu’au moment où ils connurent un malheureux drame.

Aviendha, jeune aventurière intrépide, courait dans les champs, s’imaginant être un glorieux soldat qui, engagé dans une lutte épique, combattait des légions d’horribles Démons assoiffés de sang et de chair fraîche. Alors, une épée en bois à la main, un bouclier usé à l’autre bras, elle organisait des rais imaginaires, confrontaient des créatures fictives, animées par la seule volonté de son esprit. Parfois elle goûtait à l’amer goût de la défaite, d’autres fois, elle ressortait de ces longues heures d’aventure victorieuse. C’est pendant ces séances épuisantes de scénarios sanglants qu’Aviendha croisa le chemin d’un étrange individu immobile dans les champs. Celui-ci la laissa s’approcher sans remuer ne serait-ce qu’un doigt et ne répondit pas aux interrogations de la jeune fille. Elle lui demandait s’il avait constaté l’apparition des Démons dans les alentours et s’il pouvait la renseigner sur leur nombre.

Seulement, l’étranger ne broncha pas. Aussi, Aviendha remarqua que la peau de l’inconnu n’était pas en fait de la peau, mais comme une espèce de pelage duveteux. Ses mains se terminaient par de longues griffes affûtées et dégoulinantes d’un liquide visqueux. Son corps était arc-bouté, son haleine fétide ricochait contre la joue de la jeune fille, qui, le poil hérissé, rencontra le regard affamé de ce monstre aux prunelles jaunâtres et rebroussa chemin en dévalant les collines. La chose la poursuivait. Gagnait du terrain. La renversa furieusement. Ils dégringolèrent la vallée. La créature la griffant, la mordant, lui lacérant la peau et la dépouillant de ses vêtements. L’enfant poussa des hurlements stridents, puis plus rien.

Puis, plus rien.

Le trou noir.

Il lui fallut quelques jours avant de pouvoir rouvrir les yeux. Elle se découvrit dans une chambre d’un chirurgien, sa mère affalée près d’elle sur un large fauteuil. La voir ainsi réveillée et vivante mit la famille dans l’une de ses joies qui fut vite étouffée par les sanglots de la mère éprouvée. On apprit à la jeune fille que la bête avait disparu à l’approche des habitants, qu’elle n’avait pas été surprise depuis l’attaque. On crut aux Démons. Les villageois et paysans s’emmurèrent dans leurs murs, tandis que la mutation s’opéra chez Aviendha Damodred à l’insu de tous.

Rapidement, les parents comprirent l’horrible vérité que tentait de dissimuler l’enfant depuis des semaines. Un faucon s’emparait de leur fille bien-aimée. Une garou dans la demeure. Quelle honte. On devait de s’en débarrasser. Inconsciente du complot de sa famille, Aviendha se laissa conduire jusqu’à la cité la plus proche, vit ses parents l’offrir à des marchands d’esclaves sans comprendre et fut pétrifiée des jours durant, tandis que les marchands la transportaient déjà loin de chez elle.

Une femme la recueillit. Elle se nommait Diasias et gérait une maison de filles de joie. D’abord, elle se procura Aviendha avec l’attention de lui faire remplir les corvées de la maison, mais elle comprit vite que tous ses clients semblaient attirés par la beauté féérique de la jeune fille qui s’épanouissait de plus en plus. Celle-ci accepta de danser devant ces messieurs, de leur accorder des faveurs contre de l’argent et fut rapidement la femme la plus prisée de la cité. Elle reçut de nombreuses propositions de mariage, mais refusa à toutes les fois.

Aussi, Diasias offrit à Aviendha pour son dix-huitième anniversaire un musicien privé qui lui produira des mélodies sur lesquelles rouler ses fabuleuses hanches. Tout deux devinrent vite intimes, mais demeurèrent de très bons amis par choix. Ils leur étaient impossible d’entreprendre une relation avec la carrière d’Aviendha.

Une seconde tragédie fit basculer le monde de cette jeune danseuse : un incendie fit rage dans le quartier, consuma plusieurs citoyens. Obstinée à survivre, Aviendha se munit de ses biens les plus précieux, enjamba sa fenêtre et s’élança vers le sol. Sonnée, mais intacte, elle tenta de se relever, mais une masse lourde lui heurta brutalement la tête, lui confisquant la vue.

Un immeuble en feu, des amies qui mouraient dévorées par les flammes fut la dernière vision d’Aviendha.

On l’informa de sa cécité à son réveil dans une chambre douillette. Elle s’évanouit à cette nouvelle. Le musicien Atlarius fut présent la seconde fois qu’elle ouvrit les yeux et ils conversèrent longuement. Elle ne pouvait plus poursuivre son travail de danseuse, elle devait quitter la cité avec son aide. C’est dans son périple qu’elle découvrit un faucon qu’elle nomma Lansan. Ce même faucon devint vite son protecteur et son guide.

Grâce à un vieil homme doté de dons magiques, il lia l’esprit de l’animal à celui de l’aveugle, ce qui leur permit de forger de nouveaux pouvoirs. Grâce au faucon, elle savait combien de pas exécuter. Elle connaissait le chemin, pouvait même recommencer à chanter et à danser dans les auberges et tavernes.

Depuis, elle n’a pas de but fixe. Mais vous pouvez rencontrez une jeune aveugle au corps languissant qui vous hypnotisera de sa gracieuseté, de son élégance, de ses mouvements suaves et sensuels.

Métier : Autrefois danseuse dans les tavernes.

Autre chose : Elle a un compagnon qui la suit en tout temps. Un certain Atlarius qui lui prête sa musique pour ses danses.

Animal de compagnie :

C’est un faucon de petite stature composé d’une paire d’yeux globuleux et jaunes, d’un bec crochu et tranchant, de serres coupantes, du plumes variant du blanc, au brun, au gris et au noir. Ses ailes sont constituées d’étages de couleurs, son ventre est d’un blanc nacré. Ce petit animal de proie est têtu, fidèle et protecteur. Il ne laisse approchait quiconque de sa maîtresse sans l’avoir avertie par leur lien psychique. Dépourvue de la vue, Aviendha se sert de lui comme yeux. Il est son plus grand soutient, son plus grand ami. Grâce à lui, elle a su accepter sa deuxième moitié, à développer ses pouvoirs et à métamorphoser son corps selon ses envies. Lansan l’entraîne vers les cieux, lui dicte ses pas, l’informe sur le territoire, lui apprend tout ce qu’il connaît. Avec lui, la femme se sent dès lors en sécurité.

Spoiler:

Vous

Votre prénom : Nael.
Votre fréquence de rp : Dépend toujours de mes journées de congé, de mon temps libre… de mes envies…
Comment avez-vous connu le forum ? J’en suis l’un des deux fondateurs.
Commentaires et suggestions ? …
Votre niveau de rp, sur 10 : Dépend de mon humeur.
Personnage sur votre avatar : Aucune idée.
Autres comptes ? Aedael et Thom.
Quelque chose à ajouter pour votre défense ?Non

T'es validé, ma poule.
Tu peux jouuuuueer ^^