Da Vinci Code

Da Vinci Code de de Dan Brown

Résumé :
Le conservateur du Louvre est retrouvé assassiné au beau milieu de son musée dans une position singulière. Entièrement nu, bras et jambes écartés et entourés de pictogrammes étranges, le cadavre évoque L'Homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci. L'enquête révèle rapidement que cette mise en scène n'est pas le fait de l'assassin mais qu'elle a été voulue dans un dernier sursaut par la victime elle-même, qui cherche par ce moyen à transmettre un message.

La critique :
Il existe des livres que l'on achète dans la librairie d'une gare. Cet achat n'étant motivé que par une exigence : que ce livre soit assez léger et captivant pour nous distraire pendant les longues heures confinées dans le wagon. Le 'Da Vinci Code' répond avec brio à toutes ces attentes. On se laisse prendre, malgré notre vigilance, aux rouages bien huilés d'une intrigue policière ficelée d'un amoncellement de fausses pistes. Rien d'étonnant que le cinéma s'intéresse de près à ce roman, qui a déjà gagné ses galons de best-seller. On ne trouvera en effet rien à redire au scénario captivant en tout point. Mais, en donnant la priorité à l'ambiance et au visuel choc, ce roman pèche par la qualité de ses dialogues, souvent empruntés et un peu gauches. Difficile de rendre crédibles les longues digressions, nécessairement explicatives, sur les mythologies païennes et autres croyances qui occupent nos héros, au milieu d'une intrigue policière qui se resserre sans cesse, et où le temps est compté. De même, les personnages sont (trop) brièvement esquissés et perdent quelque peu en profondeur. Gardons-nous toutefois d'une trop grande sévérité. S'il utilise sans originalité réelle les filons du bon polar, Dan Brown avance une théorie spirituelle, auréolée de grands noms du monde artistique, qui transporte le lecteur à travers des siècles de secrets bien gardés au sein de sociétés secrètes, et le conduit successivement dans les différents berceaux de la culture occidentale. On ressort de cette lecture avec une grande soif de connaissance. Une visite au Louvre s'impose et l'on rêve déjà d'un week-end improvisé à Rome ou à Londres sur les traces du Saint-Graal. Bref, le 'Da Vinci Code', fait voyager... mais après tout n'est-ce pas le propre du roman de gare ?
(Floriane Pouzol)

Da Vinci Code a le mérite d'être l'un des livres que j'ai le plus détestés. Pourquoi ? Parce que l'auteur n'est pas un artiste. J'ai écrit une dissertation de 200 mots là-dessus à l'école : jevais essayer de vous la retrouver XD !

Ça m'ennuierait de me retaper deux fois le même débat XD !

Je ne l'ai pas retrouvé ... j'ai du le jeter ... en gros, ça disait que pour moi, le monsieur (j'oublie toujours le nom de l'auteur) a autant de talent en écriture que j'en avais lorsque j'avais 11 ans. Pas de style, pas de structures de phrases remarquables : rien qu'un scénario avec lequel il peut faire de l'argent. Pour l'auteur, une phrase se résume au verbe, sujet et au complément, même que ce dernier est plutôt facultatif dans son cas.

Aussi, il m'a pourri la vie ce type. Parce que quand j'ai eu le malheur de dire à mes amis (ex-amis aujourd'hui) que l'auteur n'était pas aussi bon que moi quand j'avais 12 ans, on m'a dit que j'étais une saloperie de vantard qui ne connait rien à la littérature, et que je n'arrivais pas à la cheville de l'auteur (insulte que je n'ai toujours pas digérée). Après tout, je n'ai jamais lu Eragon, je n'ai pas aimé le Da Vinci Code et je ne suis pas fan d'Harry Potter alors c'est sûr que je n'ai aucune culture littéraire. Alors qu'on sait très bien que ces livres sont des "chef-d'oeuvres" et que rien ne peut les accoter.

Pour moi, il n'en est rien. Je dois reconnaître que l'auteur est doué : son but s'est réalisé car, comme on ne s'arrête pas sur l'émotion des personnages et que tout n'est que narration de base, faire un film avec ça, et beaucoup de pognon, c'est très easy shot ! Aussi, l'intrigue est bien menée, le côté historique aussi. Mais il y a tellement de rebondissements un à la suite de l'autre qu'à la fin, on ne considère même plus ça comme des surprises innatendues. Bref, la leçon à retenir est que Dan Brown est un historien, par un écrivain.

Je n'ai pas lu ce livre car on m'a donné à peu près les mêmes raisons que tu as mentionné...Alors, joie, tu n'es pas seul en ce triste monde.

Disons que plein de gens m'ont dit que ce livre était nul à chier, mais j'avais jamais eu d'argumentation, alors je l'ai lu et.... J'en ai rien gardé, des personnages notament. Puis de l'intrigue aussi. En fait, j'me souviens juste que ça parle du graal, comme tant d'autres. °_°"

( C'même pas innovant comme bouquin, j'peux t'en sortir un sacré tas d'étagères, des bouquins sur le graal et les héritier du Christ et les templiers. )