Izerael, Demonic King

Nom et prénom : Izerael d'Ygrath
Date de naissance : Un 29 février, alors que la terre tremblait.
Âge : Vous osez poser une telle question au Roi ? Avez-vous l'envie de perdre votre tête ?
Sexe : Masculin
Race : Démon
Rang et niveau : Berserk
Faction : Maléfique au plus haut point, Izerael est adepte du mal décadent, noble et beau, mais le Ténébreux est haï comme un usurpateur.

Pouvoirs :

• Modifier son apparence et masquer ses attributs démoniaques : Izerael est expert en ce domaine, nul ne serait se mesuré à lui sur ce plan. Il en use et en abuse parfois.
• Contrôle du feu : total, comme il se doit de la part du Roi.
• Vision dans l'obscurité parfaite.
• Pouvoir de séduction naturelle : Izerael est sublime s'il le souhaite : sous apparence humaine, il aime à paraitre comme un jeune, frêle et sublime jeune homme aux cheveux noirs et aux yeux violets améthyste.
• Invulnérabilité au feu : c'est l'apanage de sa race
• Pouvoir de fascination : seul les esprits les plus forts peuvent résister à un regard direct du Roi, il aime jouer avec cela.
• Excellente force physique, très supérieure à celle des humains, et même à l'écrasante majorité des démons. Seul son fils semble inquiéter Izerael sur ce plan.
• Faire surgir de leur corps des excroissances : selon son humeur, Izerael est plus ou moins avare d'effets spectaculaires. Il aime cependant arborer parfois une épine dorsale avec des os.
• Grande agilité : c'est un fait avéré.
• Aura terrifiante : Nul démon n'en a une aussi imposante et horrifique. Mais peut-être que celle de Serenap, une fois adulte, dépassera celle de son père...

Armes : Outre ses attributs démoniaques, et en particulier ses propres griffes, plus tranchantes que les lames les plus aiguisées, Izerael apprécie le contact de BriseVie, son fléau d'armes tricéphale, qu'il manie à la perfection...

Description physique : Appréciant le faste et l'ostentatoire, Izerael a une apparence générale très impressionnante. Sa taille, déjà : il est plus grand que nombre de démons, même si certains, dont son fils, le dépassent. Il montre son contrôle parfait du feu en forçant de fines lignes de flammes à dessiner des liserés sur son corps, comme un tatouage enflammé qui changerait continuellement de forme. En effet, les flammes n'adoptent pas un dessin figé, elle sont continuellement en train de loger la peau violette d'Izerael, changeant de position comme de largeur ou d'intensité. A la cour, Izerael adopte une apparence simple et assez figée : de longues cornes partent vers l'arrière, tendit que ses oreilles sont ornées d'anneaux et d'autres bijoux portant les insignes de la Maison Royale. Dans ces occasions, il porte une barbiche de type "bouc", et ses cheveux noirs sont coiffés en de longues tresses. Son visage est très anguleux, mais au lieu d'enlever à sa beauté, cela lui donne un charme aristocratique certain. Ses yeux, bien que violets, sont quasiment toujours rougeoyants. Le Roi préfère garder ses ailes cachées à la Cour, mais il aime les déployer en dehors du Palais. Ses jambes sont, selon son humeur, soit semblables à celles des humains, soit griffues, soit pourvues de sabots. Sa queue, elle, est n'est jamais couverte de peau : c'est un assemblage extrêmement solide d'os. Son apparence humain a déjà été abordée plus haut.

Description psychologique : Izerael est maléfique. C'est un fait. Il ne serait pas le Roi des démons, sinon. Il aime le mal sous toutes ses formes, mais il aime particulièrement qu'il soit appliqué de façon "artistique". Ce qui, de toute façon, inclue toutes sortes de mal, à condition que celui qui l'applique prétendent le faire dans une optique artistique. Mais dans le cas d'Izerael, il s'agit de l'appliquer en faisant souffrir la victime, et surtout, en satisfaisant ses désirs profonds, mais d'une façon subtile et non brutale. Il sait que le plaisir réside souvent dans l'attente, alors il fait durer. Izerael est machiavélique. Il possède un service de renseignements très efficace, et très secret. Il en a caché l'existence à tous, même à sa propre famille. On le trouve souvent assis dans ses appartements, à jouer aux échecs contre lui-même. en fait, ce qu'il déplace sur l'échiquier, ce n'est pas des pions, mais toute force qui pourrait le faire tomber de son trône. Bien qu'en vérité, il serait plus juste de dire que pendant qu'il joue, son esprit vagabonde et réfléchit à toutes les intrigues de la Cour, et aux problèmes extérieurs. Il se méfie de tous : sa femme, son fils, les démons les plus en vue, les anges, les dieux, et même les dirigeants des autres races. enfin, de presque tous. Seule sa fille échappe à son jeu d'échec mental. Sa fille, la belle Xenaeve, si belle que lorsqu'il la regarde, Izerael sent le désir gronder en lui. Depuis qu'il est sous le charme de la princesse, l'ambiance de la couche royale a changée, même si ce dernier reste une source de plaisir. Le Roi imagine qu'il s'ébat avec sa fille, et la Reine s'en rend bien compte. Depuis, Izerael commence à se méfier de Soberael, mais il continue de la couvrir d'attention (même si le cœur n'y est plus comme auparavant). De plus, la force grandissante de son fils, Serenap, l'inquiète, et il commence à craindre que le Prince ne cherche à le détrôner. Cependant, le Roi est quelqu'un de juste avec ses sujets. Ses punitions sont équitables, ses récompenses sont généreuses. Enfin, sur le plan militaire, Izerael est un fin stratège, sage et prudent, qui préfère ménager ses troupes, et prendre soin de ses hommes.

Métier : Roi. Que croyez-vous ? C'est un travail à part entière, avec plein de corvées !

Autre chose : La rumeur court qu'il commence à devenir sénile et paranoïaque. En vérité, il a lui-même fait propager cette rumeur afin que les conspirateurs se dévoilent plus facilement.

Animal de compagnie : Aucun. Quoiqu'il aime beaucoup s'amuser plus ou moins longtemps avec différentes créatures.

Vous

Votre surnom : Boris
Votre fréquence de rp : Je viens le plus souvent possible, mais il m'arrive de prendre mon temps pour répondre, donc -> ne pas s'affoler.
Comment avez-vous connu le forum ? Par un autre forum, Vorgan.
Commentaires et suggestions ? Le forum et bien ! Vivement qu'il y ai plus de monde !
Votre niveau de rp, sur 10 : Bah, c'est peut-être pas très honnête, mais..... 8/10
Personnage sur votre avatar : Izearel, voyons ^^
Autres comptes ? Irshadan
Quelque chose à ajouter pour votre défense ? Je suis coupable. Et maintenant, vous allez me faire quoi, hein ?

OUAIS !!! PAPA !!!
Erm ... mauvais compte d'utilisateur XD
La famille est toute réunie.
J'attends la fin de ta fiche avec impâtience.

Histoire :

Izerael est Roi. Fils de. Descendant d'une dynastie ô combien puissante, dont le nom seul suffit à faire trembler les peuples du Ghealdan. Il est le digne héritier d'une tradition millénaire de massacres et d'exactions. Le produit d'un programme génétique destiné à produire le mal le plus pur. Les conditions de sa naissance, un jour qui n'apparait sur les calendriers que tous les quatre ans, couplée avec le tremblement de terre qui faisait rage où moment où il quitta la matrice maternelle, auguraient déjà du bon de son règne futur.

Sa jeunesse de vampire fut éclatante. Il la vécut pleinement, passant son temps à s'adonner à tous les vices possibles et imaginables qui étaient à sa disposition : boisson, drogues, sexe et violences diverses. Son statut de prince faisait qu'il était toujours entourée d'un bande de vampires de la haute noblesse d'Ygrath. De tortures en viols, de gueules de bois en crise de folie meurtrière, le groupe était craint, même parmi la race la plus sanguinaire de toutes. Parallèlement à ces exactions, Izerael suivait au Palais des cours destinés à former le prince à être le plus parfait des Rois. Cours d'escrime, entraînement physique, cours de stratégie, etc... Mais tout cela lui était enseigné par des professeurs, jamais il ne reçut la moindre attention de la part de son père. Celui-ci, sans le tenir dans l'ombre, ni à l'écart, ne le mettait pas non plus en avant. Izerael se sentait abandonné à lui-même, comme si son père ne le voyait pas comme son fils, ni comme son héritier. Car jamais nul n'avait vu le Roi adresser la parole au prince. Cela engendra chez Izerael un véritable besoin de reconnaissance.

Le jeune prince, pour attirer l'attention paternelle, voulut monter en puissance. Si son père ne s'intéressait pas à lui, c'est sans doute qu'il le considérait trop faible pour être son héritier. Pour Izerael, c'était le début d'une intarissable soif de pouvoir. Il évolua en Hornos, première étape sur la voie de la reconnaissance. Bientôt, le royaume d'Ygrath aurait un nom sur toutes les lèvres : celui d'Izerael. Le prince continua pendant quelques temps à arpenter les rues sous sa nouvelle forme, avec ceux du groupe qui avaient eux-aussi choisi d'évoluer. C'est à ce moment que dans ses conquêtes, et en tête de liste, apparut celle qui allait devenir sa Reine, la démone Soberael. C'était à l'époque une relation purement sexuelle, comme il en avait des dizaines. Mais un projet murissait dans son esprit depuis quelques temps. C'est sur le champ de bataille qu'un démon s'illustre. Il partit alors sur le champ de bataille. Il voulait revenir en tant qu'Ala. Son père lui porterait peut-être alors ne serait-ce qu'un début d'attention... Il quitta donc son groupe de proches, cachant la vérité sous une raison officielle : le gout du combat et du massacre.

Le fait que son père ne l'ai jamais mis en avant le servit à ce moment là. Il entra dans l'armée comme simple soldat. L'expérience acquise su le champ d'honneur, ainsi que sa puissance naturelle, lui fit monter rapidement les échelons de la hiérarchie, jusqu'au rang où les simples soldats achèvent généralement leur carrière. On s'intéressa alors à ce jeune démon si prometteur. Quel surprise ! Le Prince, simple officier de bas étage ! Il grimpa alors encore plus vite dans l'État-Major. Jusqu'à obtenir, à la mort de son prédécesseur, le commandement de l'armée. C'est alors qu'il eut la surprise de voir Soberael arriver sur le front. Bien que les femmes, par traditions, ne combattent pas, il la laissa intégrer l'armée, mais lui fit subir le même parcours que celui qu'il avait fait, afin de vérifier sa valeur. Il ne fut pas déçu, elle obtint bien vite une place de choix auprès de lui. Satisfait, Izerael laissa s'installer entre elle et lui une relation plus intime, qui s'intensifia avec le temps. Ils atteignirent le rang d'Ala en même temps, au cours d'une bataille effroyable, qui vit la victoire des démons. La fin de la campagne avait sonnée, et ils rentrèrent au royaume. Izerael se présenta devant son père, mais celui-ci ne lui parla que comme à un général victorieux, sans plus. Le prince comprit alors que son père ne ferait jamais attention à lui. Ce n'était finalement qu'un vieux monarque impuissant, qui ne méritait pas son titre. Il commença dès lors à échafauder des plans pour le renverser.

Mais en temps que commandant d'une légion démoniaque, il fut renvoyé en campagne, et Soberael le suivit. Izearel avait comprit que le seul moyen de renverser son père passait par le statut de Berserk. Il prit donc des cours particuliers sur la maitrise du feu, et il insista pour que Soberael les suive aussi, car il avait une place pour elle dans ses plans. Mais quand à la fin de la campagne, ils atteignirent enfin le statut de Berserk, le prince s'isola pendant une journée entière. Au terme d'une journée de réflexion, il en vint à la conclusion que renverser le roi serait une mauvaise idée. Après tout, il était appelé à régner un jour, pourquoi précipiter les choses ? Un coup d'état créerait une situation instable, difficile à gérer. Il attendit donc patiemment son heure, renforçant ses pouvoirs, s'attachant le soutien de la population, créant déjà des réseaux secrets de renseignement. Résultat, la transmission du pouvoir se fit dans le calme et la joie de la populace. Une fois Roi, Izerael devait choisir une Reine. Bien sûr, il avait choisi Soberael, mais il garda son choix secret, du moins pour un temps. Il observa de loin la démone éliminer les autres prétendantes, au moins les plus gênantes. Il fut alors sûr qu'il avait fait le bon choix, et Soberael fut intronisé Reine d'Ygrath.

Il ne lui fallut pas plus d'une année pour assurer son règne. Le peuple l'adorait, il était cruel, mais juste, toujours aussi bon stratège, et Soberael se montrait une merveilleuse Reine, sur le trône comme au lit. Mais Izerael, prudent, laissa le temps passer. En fait, il asseyait ses services de renseignements, dont il avait d'ores et déjà constaté l'efficacité. Un service officiel, qui n'était pas très utile, et un service officieux, extrêmement secret, qui l'était bien plus. Quand toute son organisation fut réglée, il exigea de la Reine un héritier. Et Serenap naquit. Pour Izerael, ce fut un jour de grande joie. Il présenta son fils au peuple qui acclama l'enfant. Il laissa l'éducation du Prince à sa Reine, car il connaissait ses qualités, et il savait qu'elle lui transmettrait la force et la soif du pouvoir. Le Roi prit une place beaucoup plus subtile dans l'éducation de son fils. Au lieu de répéter les erreurs de son père, il tint volontairement son fils dans l'ombre, pendant toute sa jeunesse. Et ce afin de le pousser à devenir assez puissant pour mériter sa place de Prince et de futur Roi. Cette méthode porta ses fruits, et Serenap fit tout pour devenir le plus puissant, au ravissement de son père, qui se gardait bien de montrer ses émotions en public. Il gardait son exultation devant la merveille que devenait son fils pour le domaine privé, n'en parlant qu'à sa femme. Après un test destiné à s'assurer que son fils supporterait les rigueurs de l'armée, il lui permis de rejoindre une légion, mais comme lui-même l'avait fait, en commençant par le bas. Il donna ordre qu'on ne le ménage pas, et qu'il soit considéré comme un démon normal. Il savait bien que Serenap aurait toujours droit à un traitement un peu plus favorable que les autres, mais l'écart serait ainsi moins creusé.

Pendant ce temps, le couple royal avait eu un autre enfant, une fille : Xenaeve. Bien vite, la princesse devint la prunelle des yeux d'Izerael, et elle était si belle qu'il en tomba même amoureux. Il luttait contre lui-même et contre son désir, mais c'était, et c'est toujours, un combat de tous les instants. Il la couve et la surcouve, bien qu'il continue à diriger son peuple d'un main de fer dans un gant de velours. La Reine est depuis quelques temps plus distante du Roi, et, en homme intelligent, celui-ci a comprit qu'elle avait percé le secret de son attirance pour leur fille. C'est dans ce climat pesant que Serenap revint de la guerre. Il semblait encore être un Hornos, et cela attrista son père. Lorsque le Prince se présenta devant lui, Izerael prit son ton le plus dur et déclara :

"J'entends parler des prouesses du Demonic Prince, mon héritier, Serenap, mais je ne vois devant moi qu'un Hornos. Certes tu es plus musclé et plus puissant que quand tu es parti, mais n'as-tu donc rien acquit de plus, mon fil ? N'est-ce pas uniquement ton titre qui provoque ces louanges ? N'est-ce pas juste pour éviter ma colère que tes supérieurs n'osent médire de toi devant moi ?"

Le ton acariâtre et détestable qu'il prenait était voulu pour provoquer son fils. Aurait-il oublié sa soif de puissance ? Aurait-il oublié de quelle lignée il descendait ?

"N'es-tu donc pas capable de faire confiance à tes hommes, Père ? Crois-tu qu'ils ressentent forcément le besoin de te plaire ? Si tes généraux ne peuvent te parler avec sincérité et qu'ils n'osent s'opposer à toi comment peuvent-ils t'épauler ? Es-tu le tyran que je crois que tu es ?"

Les murmures s'élevèrent devant l'insolence du Prince. Mais Izerael restait serein. Il savait que son fils avait une carte dans son jeu, qu'il ne prendrait pas tant de risques sans rien sur quoi s'appuyer.

"Mais rassures-toi donc, Mon Roi, tes hommes ne te trompent pas. Si tu es incapable de juger de ma valeur, eux heureusement le sont."

Et Serenap déploya de grandes ailes. Le visage du Roi dissimula à merveille la fierté triomphante qu'il ressentait. Il jouait beaucoup trop serré sur l'éducation de son fils depuis beaucoup trop longtemps, il ne pouvait risquer la moindre erreur maintenant, sans quoi son œuvre tomberait en miettes. Serenap confirmait les espoirs qu'il plaçait en lui. L'œuvre de sa vie était presque prête : un Prince puissant, qui ferait le Roi le plus fort et le plus sage qu'Ygrath ai jamais connu. Il ne restait plus grand-chose pour que ce chef-d'œuvre soit achevé : le statut de Berserk, et quelques secrets du pouvoir à lui enseigner. Izerael reprit donc sur un ton clame, qui ne laissait transparaitre aucune émotion. Un ton royal.

"Prince Serenap, je suis satisfait de toi, n'en doute pas. Je sens ton pouvoir et je ne peux me faire abuser par lui, tu l'as développé et c'est bien un Ala qui me fait face. Je lis en toi un désir de puissance qui me fait espérer que mon fils sera bientôt un démon digne de ce nom. Ton aura se développe déjà et ton regard en est la preuve. Devient vite un Berserk, mon fils, montre moi que tu mérites d'être mon héritier, que tu as bien ta place sous mon toit. Je crois en toi, Serenap, bien plus que tu ne le penses."

C'était il y a trois ans. Depuis, Izerael veille sur Serenap d'un œil distant mais attentif. Sa plus grande crainte est que, poussé ou non par sa mère, le Prince ne veuille le détrôner trop tôt. Il a déjà prévu de laisser le pouvoir à son fils, mais il veut le peaufiner, en faire un être parfait, un Roi digne de rentrer dans la légende. Patiemment, les pièces prennent leur place sur le plateau d'échecs...

Vaaaaalidé ^^ Nul besoin d,ajouter quoi que ce soit, à part le fait que ta fille te réclame un rp, éventuellement XD

Bref, sur ce, bon jeu ^^

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